Currents

L’architecte belge Karel Burssens fait danser Tarek Halaby avec une machine, et vous pouvez prendre cela au pied de la lettre. Au plafond est accrochée une machine qui tourne. Cette installation décrit de manière répétitive le rythme, l’espace et la lumière, mais également les mouvements du danseur. Le danseur rencontre la sculpture mouvante et confère ainsi une nouvelle signification à la relation entre l’homme et la machine.

Dans cette performance, Burssens élève l’idée d’aliénation à quelque chose de poétique. L’évolution rapide de la technologie dans un monde en bouleversement continuel oblige l’homme à s’adapter sans cesse. Currents révèle cette position vulnérable de l’homme. Comment assumons-nous ces changements ? Et comment restons-nous en équilibre avec notre environnement ? Un spectacle qui cadre parfaitement dans le Festival van de Architectuur.